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Votre histoire
Raconte moi ton histoire !- Parlons d'abord de ma naissance, fruit de l’union de Monsieur et Madame Travers. Je suis venu au monde le 25 décembre 1994, un petit ange au sang pur et le premier garçon de la famille Travers. J'ai reçu l'amour maternel dès mes premiers instants, malgré que mes parents étaient excessivement absorbés par leurs activités liées au sang pur et leurs cercles amicaux. Cercle amicaux ? En apparence. Lorsque le Seigneur des Ténèbres a commencé à rassembler ses fidèles, mes parents ont été littéralement entraînés de force. Les menaces et la pression imposées par le Seigneur des Ténèbres et son loup-garou ont poussé mes parents à rejoindre leurs rangs. Pour eux, ma protection était une priorité absolue, aucune menace ne devait atteindre leur précieux enfant. La relation de mes parents a débuté de manière complexe dans cette nouvelle vie. Leur lien était tumultueux, marqué par des conflits et des désaccords qui ont profondément affecté notre famille.
En 1998, tout prend fin. Harry Potter a vaincu Voldemort. Grâce à la victoire de ce jeune homme, mes parents ont pu recommencer une nouvelle vie après tout cela. Une vie remplie de conséquences et une vie familiale qui a été transformée à jamais.
Le Pianiste - C'est incroyable de voir comment la musique peut changer les choses, n'est-ce pas ? À huit ans, je me suis rendu compte que mes parents étaient en proie à des moments difficiles. Leur foyer était encombré de tristesse, et cette lueur de joie semblait s'être évanouie. Je voulais faire quelque chose pour leur redonner le sourire.
Depuis ma naissance, j'ai été attiré par la magie du piano. J'ai lu quelque part que ses mélodies avaient le pouvoir d'apaiser les âmes et de raviver les cœurs. Je me suis mis à étudier l’histoire de la musique. Ma mère avait l’habitude quand j'étais bébé , de jouer du piano. Alors, j'ai décidé d'apprendre cet instrument. Mes premiers tentative étaient... plutôt maladroits. Les sons que je produisais faisaient rire ceux qui m'entouraient. Mais je n'ai pas abandonné. J'ai consacré tout mon temps libre à m'entraîner, à étudier la musique, à apprendre le solfège dans une académie après l'école. Ma mère heureuse d'apprendre que j'avais hérité de son goût pour la musique m'inscrit sans hésitation.
Chaque jour, je m'améliorais un peu plus. Après deux ans, j'ai pu enfin comprendre et jouer une partition. Et ce jour-là, lors d'une nuit pluvieuse, j'ai décidé de jouer pour mes parents. Mes doigts couraient sur les touches, produisant une mélodie douce et réconfortante. La musique a éclairé notre maison assombrie par les difficultés. Mes parents, émus, ont été captivés par chaque note.
Quand j'ai fini, j'ai levé les yeux et j'ai vu des larmes dans les leurs. Ces larmes étaient différentes, empreintes de gratitude et d'amour pour leur fils. J'avais touché leur âme et leur cœur. Depuis ce jour, le piano est devenu mon allié, un symbole d'espoir même dans les moments les plus sombres. Sa mélodie parvient toujours à apaiser les âmes et à raviver les cœurs, même au milieu des pires tourments. C'est incroyable comment la musique peut vraiment transcender les émotions.
les valeurs éducatives - J’étais arrivée à un âge où j’allais bientôt entrer à l’école pour sorcier,il était temps d’apprendre les valeurs éducatives de ma famille pour représenter les Travers.
J'étais le fils d'un père rigide, convaincu de l'importance de transmettre des valeurs solides à son enfant dans un monde sorcier en reconstruction. Malheureusement, la manière dont il tentait de le faire avait des conséquences désastreuses sur moi.
Mon père, persuadé de son bon droit, adoptait une approche sévère et autoritaire pour enseigner ce qu'il croyait être juste. Cependant, ses méthodes étaient souvent excessivement dures et humiliantes, laissant des marques indélébiles sur mon âme.
Ignorant la souffrance qu'il infligeait, mon père ne percevait pas les effets nocifs de son éducation autoritaire. Chaque rejet, chaque punition, bien que voulant enseigner des leçons, me plongeait dans une détresse émotionnelle profonde, altérant mon estime de soi et ma confiance en moi.
Ma mère, témoin des dommages causés par les méthodes éducatives de son mari, tentait souvent de le calmer. Les disputes nocturnes entre mes parents étaient devenues monnaie courante, ma mère plaidant pour une approche plus douce et compréhensive envers moi.
Pour mon père, convaincu de l'efficacité de sa méthode, ces critiques étaient perçues comme de simples oppositions à son autorité, sans prendre conscience de la détresse réelle et profonde de son fils.
Cette situation tragique avait transformé le foyer familial en un lieu de tension et de détresse émotionnelle constant. J'aspirais à l'amour et à l'acceptation de mon père, mais je me retrouvais pris au piège dans un cycle de désapprobation et de douleur émotionnelle, déchirant peu à peu mon cœur d'enfant.
Un Serpent a Serpentard -Le moment de rejoindre Poudlard est enfin arrivé pour moi. Ma mère avait des attentes : je devais me faire des amis et être studieux. Mon père, quant à lui, attendait de moi que j'honore ma famille. C'était un fardeau de responsabilités que je devais assumer.
Mon arrivée au château de Poudlard et à la cérémonie de répartition fut surprenante et décevante à la fois : j'ai été envoyé à Serpentard, une maison bien connue pour son attachement à la pureté du sang, un critère inévitable pour moi.
Dès mon arrivée, j'ai ressenti un malaise profond. J'avais toujours été confronté à des préjugés envers les autres maisons de l'école, et c'était réciproque. Pourtant, intégrer Serpentard m'a confronté à une réalité dérangeante. Les élèves de ma maison étaient souvent fiers de leur ascendance et, en privé, certains affichaient des opinions extrêmes sur les Moldus et les nés-Moldus. Cette situation me mettait profondément mal à l'aise. Je me retrouvais coincé entre l'éducation stricte que mon père avait tenté de m'inculquer et mes propres valeurs. Cette expérience à Serpentard a été un véritable défi pour moi, me poussant à remettre en question les valeurs qu'on m’avait inculquées et à me forger mes propres convictions, une tâche difficile dans un environnement où la tradition et les préjugés étaient profondément enracinés.
En plus de cela, en raison de ma date de naissance, j'ai intégré l'école de sorcellerie avec une année de retard. Cela m'a valu des brimades de la part de mes camarades de maison, comme si j'avais besoin de ça
Si je ne pouvais pas exprimer mes convictions de cette manière, autant rejoindre leur camp et les manipuler à mon tour. En les observant, j'apprends que tout n'est qu'une question de manipulation et de mensonge, saupoudrés d'une pointe de vérité juste assez pour captiver et convaincre les gens. À mon tour, je manipule, et vous savez quoi ? J'adore atteindre mes objectifs. Je suis entré dans leur jeu, et eux dans le mien. J'ai toujours un coup d'avance pour ne pas me faire avoir. Grâce à tout cela, j'ai pu me constituer un cercle d'amis assez proche. Certes, une bande de jeunes manipulateurs, mais d'une certaine manière, des amis quand même.
Un serpent est née.
Un Jour ... - Ma troisième année à l'école de Poudlard. Mon père est fier de ma place à Serpentard, ma mère, quant à elle, se réjouit de mes notes excellentes et de mes amitiés. Tout semblait se dérouler parfaitement. Dans le train, avec mon groupe d'"amis", nous cherchions une cabine libre pour nous installer. Malheureusement, nous avions pris trop de temps avant de monter et toutes les cabines étaient prises. Chaque année, le train était bondé avec de nouveaux étudiants, mais ce jour-là...
Je fis la connaissance d'une jeune fille qui entamait sa première année à Poudlard. En marchant dans les couloirs du train en mouvement, j'ai été bousculé par cette demoiselle qui s'est empressée de s'excuser. Je me suis écarté et lui ai fait une légère révérence pour lui permettre de passer. Elle est partie aussitôt, probablement à la recherche d'une cabine ou pour rejoindre des amis. Mes propres amis ne se sont pas faits attendre, commentant ironiquement :“toujours des filles a tes pieds” Je me suis moqué de leur bêtise.
Après de bons moments de rigolade et un trajet toujours aussi long, nous sommes enfin arrivés au château. Malgré notre statut de troisième année, nous étions tout de même présents lors de la cérémonie de répartition des maisons. Pourquoi ? Pour accueillir les nouveaux élèves dans leur 'nouvelle maison'. Après quelques verres et échanges avec les anciens et les nouveaux membres de la maison Serpentard, mon regard s'est posé sur une jeune fille. Celle du train. Va-t-elle rejoindre ma maison ? Lorsqu'elle a été appelée, je n'ai capté que son prénom, car au départ je ne prêtais pas trop attention. Elle s'appelle Louisa. Mais le Choixpeau a crié 'Serdaigle'. Quel dommage. Mais bon, je n'ai plus porté attention à elle, j'avais des nouveaux venus à m'occuper.
Le Sportif - Ma troisième année à Poudlard m'a déjà placé comme un élève remarquable au sein de la maison Serpentard. Intégrer l'équipe de Quidditch de Serpentard a été un moment marquant pour moi. Depuis mon plus jeune âge, j'avais un talent inné pour voler sur un balai, et le Quidditch m'attirait tout particulièrement. Lors des entraînements, ma détermination et mon esprit compétitif se démarquaient. J'avais une facilité naturelle avec la balle et une précision assez bonne dans mes tirs. Je suis convaincu qu'avec un entraînement intensif, je pourrais atteindre les plus hauts niveaux.
En dehors du terrain, je m'impliquais en tant que coéquipier motivant et passionné. J'encourageais mes camarades et les soutenais dans leur stratégie de jeu. Mon esprit vif et ma capacité à analyser les situations étaient des atouts importants. Mon intégration dans l'équipe de Quidditch de Serpentard a été fructueuse, contribuant à remporter plusieurs matchs cette saison. En quelques mois seulement, je suis devenu un élément clé de l'équipe
Outre le Quidditch, je m'étais également découvert une passion pour les Jeux d'Échecs Sorciers. Le contexte de Serpentard, un environnement où la ruse et l'intérêt personnel prédominent, m'avait attiré vers ce jeu. Quoi de mieux qu'un jeu de stratégie sur un échiquier pour aiguiser son esprit ? Je passais des heures à perfectionner mes stratégies, étudiant les mouvements des parties et affrontant de redoutables adversaires dans la salle commune de Serpentard.
En dehors des terrains de Quidditch, les échecs représentaient pour moi un autre moyen de me dépasser, une discipline intellectuelle dans laquelle je me forgeais. Mes amis étaient témoins de parties où je montrais autant de détermination et de soif de victoire que dans le sport. La combinaison des échecs et du Quidditch démontrait ma polyvalence. J'étais un jeune sorcier aux compétences diversifiées, prêt à relever tous les défis
Un Jour encore ... -Aujourd'hui, c'était le jour d'un match crucial de Quidditch opposant les équipes de Serpentard et de Serdaigle. En tant que batteur dans l'équipe de Serpentard pour ma quatrième année, je nourrissais une détermination ardente à mener mon équipe vers la victoire. Les tribunes étaient remplies d'élèves excités et enthousiastes, prêts à soutenir leur maison.
Pendant la mise en place des deux équipes sur le terrain, j'ai remarqué un visage familier dans l'équipe adverse : Louisa. Étrange que je me souvienne d'elle, mais je devais me concentrer sur le match.
Le jeu a débuté avec une série rapide de buts échangés entre les deux équipes. Normalement concentré et précis, j'ai été distrait par la présence de cette jeune fille. Mes frappes ont manqué leur cible, permettant à l'équipe adverse de prendre l'avantage. Malgré nos efforts, Serpentard a perdu contre Serdaigle.
À la fin du match, alors que les deux équipes se saluaient sportivement, j'ai adressé à Louisa des paroles taquines et impolies, évoquant la 'chance des sang-de-bourbe' pour justifier leur victoire. Mes mots ont trahi mes pensées et je me suis retrouvé à bégayer, réalisant que l'influence de mes camarades de Serpentard avait pris le dessus sur moi. En réalité, je ne voulais pas lui dire cela, et j'ai ressenti un profond regret après avoir prononcé ces mots.
Je me suis plongé dans une série de réflexions profondes sur mon comportement. L'influence des autres élèves avait affecté mes compétences sociales, et je savais que je ne pouvais pas rester ainsi. Si je devais renouer contact avec cette jeune femme, il me fallait adopter une attitude plus courtoise.
Je me suis résolu à faire des progrès. J'ai entrepris de me renseigner sur les manières de communiquer efficacement avec le sexe opposé.
L'ange et le serpent -Un événement imprévu a accéléré ma prise d'indépendance. À la fin de ma cinquième année, plein d'enthousiasme pour les vacances et l'idée de retrouver ma famille, en particulier ma mère, j'ai été accueilli par une atmosphère tendue à mon retour. Mon père, visiblement mécontent et furieux, était plongé dans son propre tourment. Malgré nos différences, il reste mon père.
J'ai donc entamé une discussion pour comprendre la situation. Malheureusement, cela a dégénéré en confrontation. J'ai découvert que ma mère avait quitté la demeure familiale sans le lui avoir signalé. Ses propos exagérés ou sa volonté d'imposer sa vision des choses ont peut-être été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase pour ma mère.
Mon père, en colère et bouleversé, m'a offert peu d'explications. Face à la confusion et à la douleur causées par cette soudaine absence maternelle, je me suis senti exclu et délaissé, plongé dans une profonde solitude et tristesse. Cette révélation brutale a laissé en moi une cicatrice émotionnelle, alimentant des interrogations sans réponses et ébranlant les fondations de ma vie familiale.
Empli d'une colère irrépressible, j'ai confronté mon père. Mais il semblait penser être le seul à souffrir. Il me jetta de la maison, banni de la demeure familiale. Je lui ai alors fait mes adieux, lui annonçant qu'outre sa femme, il venait également de perdre un fils pour toujours.
Déterminé à m'éloigner de cette atmosphère étouffante, j'ai pris la décision de partir, sans regarder en arrière. Mon choix s'est porté sur Pré-au-Lard, un refuge loin de cette réalité oppressante. Cependant, ce plan comportait une faille : je me retrouvais sans ressources ni toit, un jeune sang-pur abandonnant sa famille. Étais-je en train de compliquer encore plus ma vie ? La quête d'un tuteur pour m'aider jusqu'à ma majorité était vitale.
C'est alors que je me suis souvenu de ma tante CracMole, la sœur de ma mère. Même si mon père désapprouvait cette relation, ma mère nous y emmenait pour des visites familiales. L'idée de m'y rendre semblait inévitable. Heureusement, elle m'a ouvert ses bras chaleureusement. Sa gentillesse et sa compassion ont été un baume pour moi, alors que je tentais de traverser cette période difficile, marquée par la perte de ma mère et pour elle, de sa sœur.
Pour subvenir à mes besoins et apporter mon aide à ma chère tante, j'ai trouvé un emploi de serveur-barman lors des vacances scolaires. Ce lieu vibrant et animé offrait une bouffée d'air frais, loin des conflits familiaux. La routine du travail et les interactions avec les clients de la taverne sont devenus des moments réconfortants. Petit à petit, j'ai également tissé des liens d'amitié avec certains habitués, ouvrant ainsi la voie vers la réalisation de mes aspirations.
Intrigue au bal-Le soir du bal arriva enfin. L'ambiance était électrique à Poudlard, les élèves se pressaient dans la Grande Salle, parés de leurs plus beaux atours. J’entra avec confiance, souriant à mes camarades, cherchant du regard les visages familiers au milieu de la foule.
Il y avait une excitation dans l'air, une atmosphère festive et joyeuse qui enveloppait l'école.
Je me glissais avec une aisance feinte à travers la foule du bal de fin d'année à Poudlard. Je repère la jeune joueuse de Serdaigle Louisa. Cette jeune fille, je l'avais vite repérée parmi les invités, attirait mon regard. Son aura captivante m'attirait, même si je n'oserais pas l'admettre ouvertement. J'ai décidé de m'approcher d'elle avec mon habituel sourire taquin, entamant une conversation faite d'allusions subtiles et de plaisanteries pour divertir tout le monde.
Pendant la soirée, j'ai discuté avec plusieurs femmes, ajoutant une touche de légèreté et d'humour à l'événement. Mais malgré mes efforts pour divertir l'assemblée, je ne pouvais me détourner de Louisa. J'étais étrangement attiré par elle et je ne comprenais pas pourquoi.
J'ai pensé que cette fascination venait du regret de mon comportement passé, de l'époque où je l'avais insultée au match de Quidditch en la traitant de "sang de bourbe".
Quand la soirée toucha à sa fin, j'ai jeté un dernier regard à Louisa. Elle était absorbée par une conversation, ne remarquant même pas mon départ. C'était ironique et décevant à la fois.
Je me suis retrouvé seul dans l'obscurité de la nuit, mais l'image de Louisa ne me quittait pas. Je me demandais pourquoi elle m'avait tant captivé, pourquoi j'étais si troublé par cette jeune fille alors qu'elle semblait ignorer mon intérêt. C'était une énigme que je ne parvenais pas à résoudre.
L'oiseau Vol-Après Poudlard, j'ai entamé une aventure bien différente. J'ai commencé en tant que barman sur le Chemin de Traverse. L'action derrière ce comptoir m'a offert une expérience inoubliable. J'ai concocté des potions et des breuvages enchanteurs pour une clientèle variée. Ma nature sociable m'a permis de nouer des liens avec les clients, de devenir une figure appréciée du bar.
Ces années m'ont offert une diversité d'expériences. Le bar m'a enseigné l'art des interactions humaines, et a renforcé mes compétences analytiques.
Parallèlement, j'ai entamé la prestation de mes services pour assurer mes revenus et me forger une réputation dans le monde des affaires. J'ai trouvé une grande liberté dans la résolution de problèmes complexes pour divers clients. Mes choix, parfois controversés, étaient stratégiques pour élargir mon influence. Ces décisions difficiles n'ont jamais été source de honte ; je les considérais comme des étapes incontournables vers mes objectifs. Pendant ce temps, mon réseau s'est étoffé, attirant l'intérêt de personnes influentes qui ont commencé à faire appel à mes compétences.
Une idée m'est venue : les bars sont des lieux où tout est possible, réunissant des individus de tous horizons et où les secrets des gens et du monde se dévoilent souvent. C'est ainsi que l'idée d'ouvrir mon propre bar, voire un bar-club, a germé.
C'est vers mes 30 ans que j'ai finalement concrétisé mon rêve. L'ouverture de mon Bar-Club dans l'Allée des Embrumes était un choix audacieux, mais je savais que cet endroit était parfait pour mon projet. Au cœur de ce quartier peu fréquentable, j'avais l'intention de faire rayonner mon établissement comme un phare. Je souhaitais créer un lieu où la magie de la mixologie se mêlerait à des conseils enchantés, le tout dans une atmosphère chaleureuse et décontractée.
C'était un endroit unique, sans équivalent dans cette partie de l'Allée des Embrumes. Je savais que personne ne pourrait m'importuner ici, tout en sachant que mon bar serait l'unique refuge animé et accueillant de tout le quartier.
En plus de l'établissement, j'ai également investi l'appartement situé au-dessus pour y vivre. J'ai pris le temps de l'aménager, le rendant à la fois confortable et élégant. Ce lieu est devenu mon sanctuaire, mon havre de paix après de longues heures passées au bar.
J'avais enfin façonné mon propre espace, un lieu où la magie et la convivialité se fusionnaient harmonieusement. J'étais prêt à accueillir les sorciers en quête de boissons ensorcelantes et d'une oreille attentive. C'était le début d'une nouvelle aventure, et l'excitation de découvrir ce que le destin me réservait était palpable.